La Chevalerie par GARCIFER
Origine et spiritualité de la chevalerie
On parle souvent sur l'Orient, source de savoir et de conaîssances. Mais de quel Orient s'agit-il ?
L'erreur, si facile faire, car elle semble évidente à ceux qui ne conaîsse que peu la question et l'époque, est « Orient = musulman ».
C'est un contresens si grossier qu'on ne se pose même pas la question! Un ami disait à propos des slogant imbéciles qui font fureur dans les médiats « plus c'est gros, plus les gens y croient » !
Depuis les premiers chrétiens, en « orient » _ Jerusalem en particulier, et la palestine au sens de l'époque, en général _, il existait des communautés qui entretenait une spiritualité à peine tolérée par lislam, mais qui n'avait rien à voir avec lui ! La contrainte était d'être des plus discrèts, et de se faire oublier.
« Un peu comme les alchimistes en pologne par exemple, aux temps moenâgeux »
Or, ces communautés, coupé du reste du monde, prospéraient en réflexion, plus qu'en nombre ; Ils étaient sur les lieux dit « saints », comme témoins privilégés, avec des « preuves » concrètes.
En occident, nous n'en avions ni conscience ni informations ; si cela semble étonnant, méditez l'exemple bien plus éclatant et significatif suivant :
le barrage musulman
L'expension rapide de l'islam, coupa presque complètement les communictions entre l'empire chrétien d'orient (capitale Constantinople) et la chétienté d'oxident (capitale Rome). À contantinople, une culture intellectuelle et artistique digne d'admiration. En occident des temps troubles et chaotiques, même si la nuit n'était pas si sombre que l'on as bien voulu dire. Et ceci dura de long sciècles, l'islam faisait barrage pour éviter que le savoir, qui ne lui appartenait pas, arrive dans des contrées qu'il n'avait pas conquis.
Quelques petites exceptions ; l'Espagne qu'il ne maîtrisaient que par les armes sans pouvoir vraiment convaincre les âmes. De même en égypte dont le commerce était trop imporant pour être totalement controlé.
Ainsi l'occident recevait tout de meme, quelques bribes d'information : lithérature antique gréco-romaine traduit de l'arabe et expurgé des notions qui déplaisait aux juges de la foi. Mais aussi en science, mathématique en particulier. Les arabes n'ont rien inventé en la matière, et se sont contenter de reprendre ce que les anciens professaient. Ou comme les chiffres et la numération, inventé en Inde, amenez par les marchant, et pour besoins de commerce, simplifier en ce qu'on apelle abusivement les « chiffres arabes »
Ceci paraît un peu de partie pris ? Non, l'histoire vas brilamment le démontré :
en 1453 les otomans entre dans la ville. Les croniqueurs disent que le sang chrétient coula dans les caniveaux durant une semaine. Les commuautés prises de panique, profitant du désordre, s'échapère vers la séculaire rivale : Rome ! Ils apportèrent ce qu'ils pouvaient de leur savoir, en particulier les écrits, écrit en grec.
L'occident découvrait ce qui lui était caché depuis tant de sciècles. Résultât :
la renaissance italienne, puis en france et dans toute l'europe.
En redécouvrant la culture gréco-romaine, l'occident inventat la culture nouvelle destinée au progrès du monde entier !
Le barrage musulman ayant laissé momentanéement une brèche ouverte, permis à l'occident de repartir à la conquête de l'intelligence, la culture et la spiritualité !
La Chevalerie aux origines « barbares »
Chez les barbares, comprenez les peuples d'au-delà du Rhin, pour les romain. Ce terme n'avait d'ailleurs pas cette connotation péjorative qu'il a aujourd'hui. Hormis le sens « d'insoumis » donc non controlable, ce qui était un grave défaut pour un empire bien ordonné. La plupart de rois et chef barbare avait fait leurs études à Rome ! Atila compris !
Une coutume était presque partout respecté. Une petite cérémonie présidait pour les garçons, le passage de l'état d'adolescant, c'est à dire enfant élevé par les femmes, à l'état d'homme véritable, ayant sa place parmis les hommes. Celon les tributs, la fome était variable. À partir de ce moment il avait le droit de se choisir une femme et de parler en réunion.
Dans le peuple des Francs, la cérémonie avait un coté religieux bien plus marqué, il y avait des épreuve de courage, et une sorte de rituel public. Dans le clan dit « Saliques » en plus on lui remettait ses armes _ épée, lance,… _ car être un homme c'était être soldat !
La céeémonie mobilisait tout le clan, et avec le tems, elle pris de l'ampleur, au point d'être imité sporadiquement par d'autres peuples dit barbares, les wisigoths en particulier. C'était un acte de reconaissance qui conférait une place dans le groupe. Place définie de plus en plus avec la réussite d'épreuves de force et de courage. A la fin de l'empire romain d'occident et les déut du moyen age, le meilleurs places étaient de plus en plus enviée, et on reservais la cérémonie soit à des personnes particulèrement vaillante, ou a des héritier d'une grande famille, Et ceci jusqu’à constituer des groupes de guerriers de plus en plus éprouvés. Alors les religieux chrétients y prirent de l'importance.
Mais en parallèle le moyen Age s'organisa. Les seigneurs devinrent suzerains qui régnaient en maître absolu dans leur domaine. Le servage devint la règle, pour ceux qui ne pouvaient pas accéder à la noblesse naissante.
Le seigneur avait droit de vie et de mort sur ces sujets. « on prétent que la mère machin est une sorcière, qu'on la pende ! » et le jugement était ferme et définitif,
Alors l'oeuvre civilisatrice du christianisme commença à être visible. L'église créa l'inquisition !
Cela paraît abérant pour l'homme moderne, mais considérons ce qu'elle a apporté :
1- L'accusé avait le droit de se défendre ! Ce qui illustre qu'avant il n'en avait pas le droit !
2- L'accusé pouvait choisir un défenseur ! Ce qui montre qu'avant ce personnage n'existait pas, ou était inculpé à son tour !
3- Un certain public pouvait assister, en particulier les témoins ! Une nouveauté
4- tous les débats était écrit et les comptes rendus mis aux archive ! On mesure ses proles si on sait que les parole ne s'envole pas.
5- etc.
Bien sur, la justice laïc a, bien qu'avec rétissance emboité le pas. Mais les seigneurs eux faisait de la résistance. Pourtant, leur domaine s'accroissant, et les plaisirs mondains devenant plus attractifs, il déléguère leur justice, au chevaliers. Leur mission était clair : régler au nom du seigneur les conflics, et bien sur, venir au secour de ce dit seigneur lorsque cela était nécéssaire, ce qui fut toujours parmis leur rôle.
La encore, l'église converti ces brutes bagareurs en véritable soldat de la nouvelle morale.
C'est au nom de Dieu qu'il faisait justice, et aidant la veuve et l'orphelin, et….
Une autre chevalerie naissait, celle qui nous tient encore à coeur !
Pas pour moi seigneur, pas pour moi, mais pour ta plus grande gloire !
Les illusions qui rassurent
Certes il est peu glorieux d'admettre des racines dans des bandes belliqueuses pour des ordres portés aux nues. Aussi on tenta de « débusquer » de plus honorable, d'autant plus que l'on voulait priver l'église de son rôle civilisateur.
J'ai entendu un bel exposé mettant en avant ces valeureux cavaliers romains, exemple de courage et de camaraderie. C'est confondre Chevalier et cavalier, ce qui n'a rien a voir ! Ce n'est pas l'animal qui réalise des explois, c'est l'homme qui le monte ! Les romains étaient courageux, sans doute, les légionaires à pied ne l'était pas moins ! Et si vous analyser, partout dans le monde, toute les troupes qui ont vraiment affonté ensemble la mort au combat, même de caractère différent, vous trouverez toujours cette camaraderie forgée en affrontant la mort !
On a chercher de mistérieux chevaliers en orient où ils étaient absents avant que les chevalier d'occident leur montre exemple. Le vieux de la montagne était un ayatola avant l'heure et ses soldats des personnes sous l'emprise du hachiche et des promesses de paradis aux 12 vièrges !
De même les communautés spirituelle, attribué abusivement a l'islam , préexistaient avant l'islam. Que faire si on est menacé de mort par un envahissrur ? Sinon de recouvrir de papier paint à la mode imposée et tenter de se faire passer pour des sujets soumis !
Les cavaliers de la Grande Armée napoléoniènne n'était pas des chevaliers, bien qu'ils firent admiration et crainte dans l'Europe entière !
Les vas-nu-pieds de Valmy avaient une foi telle dans les apports de la révolution, comme « liberté-égalité-fraternité » qu'ils ont réalisé des exploix, sans cheval ni rituel d'admission !
Alors nos chevaliers, qu'ont-ils de plus ?
Je dirais, pour l'avoir subie moi-même :
« La spiritualité acquise suite à l'initiation ! »
Il faut bien l'admettre, La grande différence d'avec tous les autres corps d'armée, à cheval ou non, c'était leur motivations qui « sacralisait » en quelque sorte leurs actions. Certes, ils étaient des hommes, donc faillibles, mais ce n'est pas pour eux qu'ils mettaient en jeu leur vie, mais pour « un esprit » suppérieur, au-delà de la simple humanité. Ils n'était pas des saints, mais gardaient l'espoir d'être guidé par « l'esprit saint » !
Qu'apporte donc cette initiation a ces guerriers ? Apparament rien de visible ou d'utilisable au combat ! Tout est en L'esprit !
Être initié, c'est changer de route de penser, ressentir et espérer. La première étape de toute initiation véritable est :
« faire sortir des rails de penser ordinaire »
Pris dans notre vie quotidiènne, nous nous révélons incapable d'en sortir. En particulier dans nos mode de penser, voir, comprendre et d'admettre autre chose que du « déjà vu ». La magie à compris cela il y a très lontemps. Là ou cela coince c'est « apres avoir décollé, où attérir ! » seules des traditions éprouvées sont apte à prendre en charge la suite.
Il suffit souvent de presque rien pour mettre en conditions de changer, sauf si on apporte avec soit parachute et boué, censée nous « ratraper si jamais », mais qui en fait nous enchaîne à ce que nous étions, comme un ressort de rappel !
Aussi, la surprise est un premier outil pour mettre en conditions. Et là je m'insurge contre ceux qui pensent bien faire en dévoilalant des détails de leur soi-disant initiation : non cela prouve qu'ils ne sont initié que de façade _comme on peut l'être à la poterie ou aux speudo tecniques chinoises_ ; mais en plus ils mettent des embuches à ceux qui voudraient s'engager, en les « scotchant » à une interprétation litérale !
Comme le bateau détaché du quai, l'impétrant peut être « dirigé » comme on tire le bateau hors du port, même a main d'homme !
L'art est alors de le diriger vers sa véritable nature, sa vériyable pensée et sa vériable sensibilité, même et surtout, si elles diffère totalent de celles des « initiateurs ». Car le but n'est pas de lui enseigner quoi que ce soit, mais c'est de lui faire découvrir sa vériable nature, à lui et à lui seul !
Ainsi que dire de la spiritualité acquise par l'initiation ? Rien qui ne soit divulgable, consciamment ou inconsciamment. Chacun son expérience propre, qui d'ailleur ne fait que débuter au cours de la cérémonie !
Si une chose des plus imporante : On doit acquérir la « claire-voyance », c'est à dire la vision claire des choses et évènements, à l'opposé de ce qui est dite vision objective plus ou moins repainte par nos préjugés, la morale moralisante, la bien pensance, la pression médiatique, éducative, familiale…
Alors tu pouras être un chevalier mon frère
Devenir Chevalier
J'allais dire, tout le chemin reste à faire, ce qui est évidemment faux, car c'est en chemin que la vue claire apparaît :
Je prend exemple de la Franc maçonnerie (parce que je connaît) et plus particulièremen le REAA _ Rite Écossais Ancien et Accepté (car c'est le seul qui soit véritablement initiatique)
La chevalerie, voie d’action s’il en est, est un véritable métier –au sens compagnonnique du terme– qui mérite un long apprentissage avant adoubement complet. Si nous avons reçus plusieurs fois le titre de chevalier c'est que chaque fois on en recevait qu'une partie :
• 11ème degré : Sublime Chevalier élu
• 13ème degré : Chevalier de Royal-Arche
• 15ème degré : Chevalier d’Orient et de l’épée
• 17ème degré : Chevalier d’Orient et d’Occident
• 18ème degré : Chevalier Rose-Croix
• 21ème degré : Chevalier Prussien
• 22ème degré : Chevalier de Royal-Hache
• 25ème degré : Chevalier du Serpent d’Airain
• 28ème degré : Chevalier du Soleil
• 30ème degré : Chevalier Kadosch
Donc si nous avons reçus plusieurs fois le titre de chevalier, c’est qu’à chaque étape nous n’avons acquis qu’un titre chevaleresque, un attribut, un devoir, une aptitude… Et en arrivant au nec plus ultra, alors qu’on n’a plus rien à nous enseigner, le devoir que nous avons reçu est celui qui doit définir toute la maçonnerie de REAA, puisqu’il clos l’acquisition des pré-requis nécessaires à notre mission de franc-maçon tout simplement.
10 étapes répertoriées et pratiquées ! Mais avec les temps de murissement, cela paraît presque court ! Car c'est tout une transmutation, au sens alchimique, qui s'opère !
Pour moi, appelé par les chevaliers du Temple, je me rappelle ma semaine de questions qui me furent posées, suivi de maximes, explications et révélation, et ceci de 4 heures du matin à 23 heures du soir pour acquérir le droit l'apprendre l'épée et le cheval ! Mais c'était des Templiers qui se relayaient, même durant les repas !
D'un coté (la maçonnerie) un travail de longue haleine, de l'autre ( le Temple) on abat la muraille au canon ! Mais le but est le même. Avec mes expériences chamaniques, je sais ce que signifie « la conjonction des initiés » , chacun prend son chemin pour gravir la montagne, et on se retrouve au sommet.
Le travail, car c'est un travail, à faire, est sur soi-même. Non point par une sorte d'égoïsme ou égocentrisme, mais parceque si nous ne sommes pas capable du « savoir faire », comment pourions nous être efficasse ?
Le rite dit français en maçonnerie fait le chemin à l'envers ; il apprend à agir sur les autre et sur le monde, espérant l'améliorer, et ainsi améliorer les êtres dont soit même. Mais que peut-il alors nous apprendre du «savoir faire » ? Ce que les promoteurs croient savoir, ce qui est conforme à leur doxa et morale dignorant. Lorsque les discussions abandonne le style « discussion de comptoire un peu policé » c'est pour faire la promotion d'un parti, d'une théorie, ou d'un « on sait bien » qui cache la plus grande ignorance !
Ainsi apprendre au préalable à « voir clair », à entendre les nuances qui font comprendre, à deviner les intentions de ceux dont on connaît la manière de penser…
Au sabre, non académique bien sùr, on cherche à « entendre l'adversaire penser » car la parade, pour être efficase, doit débuter avant la passe de l'adversaire. Il faut le devancer dans sa propre pensée pour le dominer en combat ! Comment en être capable, si on n'a jamais vécu « en lui » en l'écoutant parler et vivre !
Au premier degré, mes apprentis m'ont presque tous dit :
« j'ai passé une année à écouter les autres, mais c'est sur moi que j'ai le plus appris ! »
La raison est finalement très simple : si on entre dans l'esprit de l'autre, on perçois ses motivations profondes et le plus souvent cachés. Alors, le reflexe mental nous pose la question : pourquoi ne suis-je pas comme lui ? Soit en traduction immédiate « comment suis-je moi-même ?»
De plus la question sur soi part des circonstance imposées par l'autre, c'est-à-dire hors de mes rails de la raison ! Par le silence qui m'est imposé et mon écoute, je deviens libre de raisonner, sentir et imaginer autrement !
Pour l'épée, on ne pense plus à son épée mais à celle qu'on affronte. C'est la maxime des compagnons du devoir : « ne fixe pas ta pensé son tes outils, ta main sait les manier. Fixe ta pensée sur l'euvre à accomplir ! »
La justice du chevalier
Ici on parle plus de justice, mais d'étique. Un exemple pour comprendre :
Un homme meut, père de deux fils. La justice veux que l'héritage soit divisé en deux , moitiée, une pour pour chacun. Hors l'un est riche et l'autre dans la misère. L'étique voudeait que le pauvre reçoive plus que son frère.
Si la justice peut figurer dans des textes et code, l'étique, elle, dépend des circonstances et varie du tout au tout d'un cas à l'autre. Elle est non-codifiable et reste de l'ordre du ressenti.
La mythologie dit que le créateut à « oublier » une partie de lui-même au sein de sa créature. Cette partie divine qui existe en chacun de nous, et qui est souvent ngligée, voir méprisée. Hors c'est elle qui défini notre valeur propre !
Ce que l'on nomme conscience, dans sa version réflexion et jugement intérieur est une émanation de cette partie sacrée. Elle est raison, mais raison spirituelle et s'accompagne plus de sentiments que de démonstrations.
Castaneda, rencontrant le shaman José, lui fait part de ses doutes :
Lorsque j'ai un choix à faire, je suis fort indécis
à la croisé des chemins prend toujours celui qui a du coeur !
Mais comment saurais-je lequel à du coeur ?
Pose toi, au moins, la question !
Le problçme n'est pas de se poser la question, bien que… Le problème est « comment accéder au fond de soi ? » voila ce que l'initiation vritable tente de nous apprendre !
De plus, le Chevaler n'est responsable de ses actes, paroles, pensées et sentiments que devant lui-même et devant Dieu. Et ne pensez pas que cela lui permet tout et rien. Car, avec la conscience et la spiritualité acquise, je jugement est toujours beaucoup plus sévèère et intransigeant pour ces juges là !
Les aventures du Chevalier errant
(l'acquisition d'expériences)
Bien sùr, les explois et aventure des romans de Chevalerie font aussi office de publicité pour la fonction. On y glorifie l'idéal du comportement, du courage, du discernement ou de la ruse. Comme on dit « dans le cochon tout est à prendre » ! Mais cela concerne le commerce des livres.
Pour le chevalier, c'est son quotidien. Il ne sais jamais ce qui l'attend au détour du chemin, en un clin d'oeil il doit faire face. Mentalement, il doit être disponible. Trouver le moyen de faire, évaluer la situation, les dangers, les chances. Pas le temps d'échafauder un programme ou de planifier une réaction. Cela s'apprend aussi, mais comment ? Par l'expérience vécue.
Et affrontant une bande de brigan, une meute de loup ou la charge de l'énnemie, on acquière le savoir affronter une hydre à sept têtes !
En maçonnerie, on vous fait, spychologiquement, vivre des rôles extrahordinaires. Qu'importe le réalisme, l'esprit doit s'adapter !
Vous etes élu, vous, garder l'arche Royale, vous travailler truelle d'une main épée de l'autre…
Chaques étape vous enrichie d'état d'esprit différent, aussi varié que possible.
Je me rappelle que sur une difficulté dans l'écriture d'un logiciel de gestion, je me suis dit qu'un semblable problème était traité pour un système d'arme. Les copains se sont extasier de mon « invention », ce n'était qu'une expérience acquise ailleurs et utilisable ici !
Pour le chevalier, c'est sur le terrain qu'il apprend, car son intiation est une initiation d'action ! C'est pour agir qu'il est initié. Au REAA, c'est pour connaître au sens profond du terme, et pour être soi-même. Car on agit par la parole même si elle peut devenir acte.
Et vous voyez pourquoi les questions sociétales ne sont pas les bienvenues, puisqu'il faut atteindre sa véritable dimension pour agir en « notre conscience propre » et non pas en suivant le consensus plus ou moins commun !<
Autre exemple l'initiation du DZOGCHEN qui émerge d'un certain bouddisme, sous une forme réservé un peu semblable à la maçonnerie en sa forme. Sans vous révéler des secrèts, la méthode demande de longues méditations ou on s'identifie à, ce qui est très mal dit : un dieu. Disons un archétype. À la suite de cela il est expressément demandé de rejetter cette identification. Pourquoi ? Oh c'est simple, on jette la forme, le papier cadeau, pour garder le fond, une sorte de cadeau !
Là aussi l'acquisition d'expériences nous montre le chemin de La Connaîssance. Chaque tradition à choisie les meilleures expériences pour monter ou trouver le NEC PLUS ULTRA.
Et le schamanisme centre-asie
Tradition très diffférente, c'est la troisième sorte d'initiation, je la qualifirait de sentimentale. On vous amène au bord du précipice et vous dit « Regarde avec ta sensibilité, Prend en toi la Vérité, Ouvre tes yeux de l'âme, tu peut faire un pas de plus, mais le retour est périlleux !
Pour le chevalier, comme celui de la table ronde, on l'a placé devant le Graal, et advienne ce dont il est capable ! Extrèmement peu en sont arrivé là, mais c'est le Grand Architecte de l'Univers qui dirige les travaux, car personne d'autre en est capable !
L'Histoire et les faits
ceci est bel et bien, mais qu'en résulte-il en pratisue ?
L'histoire en as finalement peu retenu de leur action, hormis des batailles gagnées pour le compte de leur suzerain. Aucun n’a été déclaré saint par la hierarchie éclésiastique, ni même montré en exemple.
Ah si, il existe deux anges qui nous concerne, qui sont Chevalier. On les figure en aumure au combat, et on les vénère en demandant leur petection :
Saint Michel protecteur de la France et aussi de l'Italie.
Saint Jacque protecteur de l'espagne et gardien de sa liberté.
Est-ce une récupration, comme il fut de coutume pour les saints bretons ?
Pas seulement, car si on parle d'ange ce n'est pas dans l'attente d'une apprition. Je vais être un peu caricatural, pour faire comprendre. L'ange fait appel à une foce qui est en nous, et qui sommeil. Il nous est tous arrivé de se dire à soi-même ; « je devrais faire cela pour leur montrer…. » un blocage fait que l'on reste enchaîné incapable de commencer. Mais par certaine circonstances l'action est libérée et en générale réussie. C'est l'ange qui as fait cela dit-on !
Saint Michel, au monastère de l'île du mont du même non, assiégé par les anglais à résisté durant unsciècle. On ne sais trop pourquoi, des demi fou sûrement, ont dit NON. Les défenseurs vont s'aglomérer et toute la forteresse as tenut tête à bien plus fort qu'eux, alors Saint Michel apparaît sur les remparts… peut-être, mais surement dans l'esprit des combattants. En maçonnerie on parle d'égrégore ! Et ensemble, l'audace surprend les adversaires qui tremble devant l'intervention du ciel.
Saint Jacques, de la même façon apparaitra pour bouter l'Islam hors d'espagne. Il seras le premier à être nommé de « MATAMORE", traduisez celui qui tue les maures ! L'église si prude habituelement glorifiant un guerrier ? Non, celle glorifie celui qui repousse le diable et ses horde d'égorgeurs !
Tout deux, symboliquement, ont permis la solidification de la civilisation, face à la déchéante soumission ! Mais le « peuple » était derrière eux, ou peut être devant !
Dont, ces chevaliers, ou ces anges chevaliers, on cristalisé un espoir apte à rassembler l'entourage pour la cause qu'il défendait.
Voilà ce que certains chevalier on bénéficier, parmis, il faut le dire, des milliers qui sont resté anonymes. Il ont incarné un espoir pour le rendre vainqueur de l'adversité !
la diversion apparente sur La cavalerie médiévale espagnole est apparue directement à la suite du conflit féroce et continu entre la domination des Maure sur la péninsule et les royaumes chrétiens résistant au nord de l'Espagne
Le conflit a commencé au VIIe siècle, s'est poursuivi jusqu'à la fin de la période médiévale.
Pendant ce temps, un certain nombre de chevaliers espagnols ont acquis la renommée et la renommée par leur courage contre les armées Maures sur le champ de bataille.
Beaucoup de ces messieurs sont arrivés à accumuler suffisamment d'influence politique et militaire pour développer leur propre domaine indépendant ou exercer une influence significative sur l'un des royaumes chrétiens existants.
Le chevalier médiéval espagnol le plus remarquable et le plus connu était Rodrigo Diaz de Vivar, plus connu sous le nom d'El Cid.
El Cid venait de Castille au XIe siècle figure légendaire de la Reconquête, il a conquis Valencia et est devenu un symbole de la lutte contre les musulmans.
Don Pelayo, fils d’un noble Wisigoth, mort en 737 en combattant lors des batailles des clans wisigoths.
Sérum de Quiñones venait du Leon,
Jaime Ier d'Aragon était un autre héros de la Reconquista espagnole.
Bon hormis Le CID, connu grace à la tragédie de Pierre Corneille (1637), les autres sont inconnu ici, comme le chevalier Bayard est inconnu en Espagne. Pourquoi ?
Tout simplement parce qu'il ont servi l'histoire, et c'est elle qui a préserver leur renomée. Ce petit à-parté espagnol, pour illustrer la relativité des chevaliers du moyen age. Ils appartienne à leur temps, et leur initiation est destiné à en faire des hommes d'action, action concrète et réelle.
le but est de mettre en lumière :
la caractrisrique de la chevalerie maçonnique.>
L'initition du REAA est finalement plus spirituelle, morale et psychologique. Cela ne veux pas dire que l'on doit tourner le dos au monde concret et a la vie quotidienne.
Par comparaison le rite français est plus tourné vers le role sociale, avec une teinture morale.
Le chevalier du REAA n'est pas -forcément un mystique _encore moins un gourou_, mais il doit être dans l'équilible entre sage et influenceur.
Là, nous avons dépasser l'initiation de métier. Apres « l'apprendre à faire » et la maîtrise du
« savoir faire, il y a le « savoir enseigner ». Mon schaman me disait : « je t'ai donné une expérience, mais ne crois pas être un schaman, il faut pour cela savoir créer un autre schaman ! »
Et pour celui qui poursuit d'autre savoir sont à conquérir, celui de faire comprendre, d'influencer, de transformer les choses…
Et enfin celui de passer les frontières et de revenir avec la connaîssance !
La vie m'a mis le pied à l'étrier, il faut se hisser au dessus de l'animalité, pour voir de haut comment évolue la bataille.
Il est d'usage de dire que ce qui importe est le chemin parcouru, plus que le but atteind. Je veux bien, mais subir toutes les peine du monde en traversant le désert, et mourir de soif a peu de distance d'un lac, me paraît dommage !
Un chevalier est toujours jugé sur ses résultats !
Car en spiritualité comme en menuiserie, l'art est jugé sur ce que l'ouvrier réalise.
Ainsi, on parle vulgairement de « chevalier de l'industrie », « chevalier des art & lettres » pour ceux qui permettent la réussite !
Seulement pour illustrer que l'action est essenyielle, et la réussite obligatoire. Mais action ne signifie pas uniquement agissement physique. Pour le Chevalier en maçonnerie c'est par la parole, l'attitude et la position dans le monde, qui son principal mode d'action.
Un sage habitait dans une ruelle, d'une ville d'Orient. On savait qu'il était grand sage, car aucun brigans n'aurait osé causer un mefait dans sa rue !
De la théorie... et bien pas vraiment, cela corespond à une réaction involontaire qui est propre à tout les être pensant : Avant de faire, il faut être, voila ce qui pourait servire de slogan du REAA (et pas d'autre). L'attitude intérieure se resent de l'extérieur, et de façon insidieuse il tiens en respect critique et adversité. Dans ses disposition d'esprit, les gestes, même banals, prenne une dimension qui en impose. L'autre inconciament le ressent.
Presque tous les jours, je le vois avec mes chiens, il s'approche avec l'attitude d'une demande d'amitié, de ceux qui font face avec sympathie. Il aboient contre ceux qui montre des signes de peur ou d'ostilité ! Un voyageur racontait s'être trouvé face à face avec une lionne en chasse. Il est resté debout à admirer le fauve admirable. Après un long regard, l'animal à été chercher pitance ailleur !
L'instinct, sans doute, mai pourquoi l'humain, tout animal fut-il, n'aurait plus dinstint à mettre à son profit ?
L'homme accompli doit rester « entier », car chasser une part de soi-même, c'est chasser sa nature tour entière. Plutot que de combattre une part peu avouable, c'est la maîtriser et la soumettre au but que l'on s'est donné. C'est cela que signifie « dominer ses pations », non pas les détruire et en perdre l'énergie, mais en renir les rennes pour les diriger où nous voulons nous épanouir. Voilà une raison d'apprendre à monter à cheval : Chevalier et cheval, pensée et corps, spiritualité et instinct, doivent faire corps dans l'homme initié !
Tout est latant en nous, mais oculté par nos habitudes, l'exemple qu'on nous donne, la bétise qui dénie, la honte d'être différent, la menace d'excusion, notre paresse et lâcheté naturelle ou provoquée….
Alors il faut un choc qui nous bouscule et fait sortir de nos « rails de penser », nous propulse sur des chemins de travers, nous exile du personnage fabriqué pour paraître. C'est cela l'initiation !
L'initiation de Chevalier, fait mal, fatigue, vous donne des bleus au corps et à l'âme, vous laisse de plaies ou le sang empoisonné s'échappe ! Peu importe comme pour le chevalier accomplit on doit juger sur ses résultats !
Le mental et la certitude de l'au-delà.
Pour l'initiation traditionelle, comme celle que j'ai subie, mais aussi, dans une moindre mesur par le passage par le tombeau pour accéder à la maîtrise du REAA maçonnique, et dans la mesure plus « diluée » par l'attente dans la caverne schamanique, ce sont les moments exceptionels qui ,dans l'Athanor, transforme en profondeur la substance humaine, corps et esprit !
Seul avec vous même, bien qu'il y ai des témoins de l'autre monde, on renonce à se mentir à soi-même ! Si on a l'audace et le courage de voir sans juger, comprendre (prendre en soi) sans résister, oser ne pas revenir en arrière, mais suivre consciemment la vérité qui vous laisse entrer en elle… Alors on ressent qui on est vraiment, et pourquoi nous sommes en vie !
En fait, les morts (les cadavres qui m'entouraient) n'avait rien d'hostiles ou effrayants, ni ami ni ennemis, et quelle que fut leur vie, ni bon ni mauvais ! Ils étaient tout simplement ! Mais ce qui tenait l'esprit en alerte était : « ou sont-il en cet instant ? »
Ce que nous laissons sur terre (matière et esprit) n'est que terre, glaise que le potier peut réemployer à sa guise !
Le reste ?
Nous somme comme le fer dans la forge de la vie, pour créer non seulement un objet, mais surtout l'idée, la pensée, les sentiments, les espérances, les signes et appel que cet objet suggère ! Dans la crypte, les corps représentaient en nous, l'honneur, la fidélité, la justice, le courage… la noblesse de la Chevalerie !
En maçonnerie, on fait l'expérience de tout perdre : argent, ami, notoriété, espoirs, ambitions… pour se replier sur l'essentiel : ce qui reste après avoir tout perdu ! Alors, l'exclamation « Ah Seigneur Mon Dieu ! » n'est que la reconnaîssance de ce qui nous dépasse et nous perdurera.
Si on garde le regard intérieur, fixé sur ce sacré (personnel), alors, ici bas, nous vivrons en Chevalier et agirons conformément à notre devoir, sans même le vouloir !