Toue ma jeunesse fut bercé par ce mythe, pourquoi ?
deux hypothèses possible…. Et uniquement deux !
1. une légende inventé par la famille pour consoler un gamin malingre dont on redoutait a tout anniversaire qu'il soit le dernier.
2. une vérité dont, si on n'en avait honte, on ne tenais pas à ce que cela se sache, pour éviter des représailles.
les deux hypothèses sont toutes deux crédibles. Les argument pour valider l'une, dite d'une façon fort peu différente, peut tout aussi bien valider l'autre !
Alors, il faut en revenir aux faits :
1-Tout d'abord ma naissance [1] ;
je suis né hermaphrodite, le silence fut tenu par le plus grand secrèt !je l'ai appris de ma mère mourante ! Puis trouv ' une mension dans le carnet de maternité, écrite sembleil dans l'émotion et la prcipitation- !L'enfant est né hermaphrodite, selon la volonté des parent, il a été procédé dans la journée à la neutralisation de la « voie féminine »
[2]
juste une explication : « dans la journée » est à traduire par « dans sa première nuit », je n'avais pas 1 jour.
N'était-ce pas risqué ? Pourquoi cette urgence ? Dans quel VÉRITABLE BUT cet opération ?
Plus tard ont me fit comprendre « qu'il y avait des raisons politiques suite à la guerre d'Espagne . Il fallait que je soit garçon pour une « sorte d’éritage »
Quel héritage ? De quel sorte d'héritage ? Bien sùr pas de bien matériel, mes parent n'on pas reçu de quoi agrémenter leur vie d'ouvrier, juste au dessus de la pauvreté ! Alors….
! j'en ai été perturbé un moment je compris pourquoi mes proches parents m'appelaient "mon ange".Car les hermaphrodite, et ceux qui n'avait aucun sexe était appelé « des anges ». bon, le coup passé, je m'en fout, je suis monsieur et rien d'autre et je pense vivre ainsi le plus longtemps possible, mais parfois je me demande ce que j'aurais été si... c'est une question du même ordre que l'existante de dieu, alors je suis "agnostique du sexe", je n'admire que les femmes et c'est tout !
Ensuite ne sachant pas que j'écoutais derrièe la porte, mon oncle et mon prère dirent que les « inspecteurs », aussitôt prévenus de ma naissance, venaient D'ESPAGNE pour m'examiner !
qui étaient ces inspecteurs ? Pourquoi examiner un bébé finalement sans particularité évidente ? Et pourquoi cela avait-il rapport avevc mon sexe ?
Il faut préciser qu'une telle pération, si tôt, a des influences désastreuses sur la vie du gamin ! Je suis resté malingre, petit, faible, la risée des copains, la condescendance des adulte… vous imaginer l'humiliation a entendre 'il est mignon LE PETIT ! À a en pleurer une partie de la nuit et hurler dans son oeillé !
L'adolescence à ét une libération : je « poussais comme une asperge ! » disait mama. Si je n'avais pas eu si mal dans les articlations, j'aurais été le plus heureux des garçons !
.
2- ensuite, mon éducation particulière
Pour cela on me prenait « à par », au jardin, ou en balade, ou a l'atelier de papa. Cela ne concerne pas les fille ! (mes deux sœurs plus agées que moi)
Papa, qui n'a jamais été violent, ni en parole ni en acte, m'apprenait les « trucs » de tous les métiers manuels. Je crois qu'il les dominait tous, et il était admiré pour cela.
*- Regarde, fiston, la vareloppe se tien comme cela. Tu pousse régulièrement comme ceci
*- Non, ne regarde pas l'ouyil, ce sont tes mains qui savent, ta raison, elle hésite, et tu fait des dents de scie
*- Comme cela ! Regarde le bout de la planche, tes mains suiverons !
Alors, mes copeau, passèrent de petit débris à de vrais copeaux enroulés sur eux même. Alors papa expliquait, :
« pour tout ce que tu fait fixe le résultat, tes mains et ta raison seront faire !
Mon Oncle Larent, lui était lus directif :
*- dit donc, tu sais qu'il y a une fuite dans les waters
*- ben oui, mais je ne sais pas faire !
*- Et bien tu apprend ! Il n'y a pas de fénént parmis les GARCIA ! Plus tard, tu dirigeras des équipes ! Si tu ne sais pas mieux qu'eux le métize, comment pouras-tu les commander ?
*- Oui mon oncle, je vais apprendre !
Ceci pour exemple du savoir faire concrèt. Mais pour la morale et la manière d'être, c'était de même.
Il y as une rixe. Une femme est en danger. C'et toi qui doit mourir, pas elle ! Que ce soit une putain ou unr princesse, un chevalier n'y regarde pas : il fonce !! »
j'y croyais, et… jy crois encore !
3- Mon armement Chevalier du Temple [2]
Ils sont arrivés un soir, chez moi et sans ménagement m'ont commandé de les suivre. J'ai cru de Policier en civil. Ils m'ont amené à l'aéroport du BOURGET. Quans je demandais où on allais la réponse était « vous verrez bien ». Si je disait que le lendemain je devait aller travailler (à FRAMATOME La DÉFENSE, il me montrère une demande de vacance de 1 jours… signée comme de ma main ! J'étais étoné qu'avec un simple geste de la main toutes les porte s'ouvraient !
Un petit avion avec à peine une disaine de place nous amena en ESPAGNE. Durant le traet ils changèrent de vétements pour des tunique blanche avec la cros templière rouge, Et je reçu une tunique toute blanche. >br> une voiture nous attendait. Ssssur les pancartes j'ai su qu'o était en ESPAGNE mais très près du PORTUGAL. Un petit château, comme un manoir.
On m'interrogea longuement sur la religion : je nai rien caché : ma proximité des anarchistes espagnol, mon athéisme déçus par la bêtise de ceux qui se disait tel, alors mon agnosticisme avoué :
réponde à la question;Dieu existe-il ? Est absude, car par définition Dieu, quel qu'il soit, est au-delà de notre capacité de réflexion ! Alors, j'ai le courage de dire « je ne sais pas, et ne saurais jamais, sans... » Ils se détendire et apprécièrent mon mépris des athistes et mon profond respect des croyans « si eux ont eu une révéltion…. »
Alors ils m'interrogère sur les dogme, et comme j'y avais réfléchi, mes réponses eurent l'air de les satisfaire. Alors on passa sur la morale et la spiritualité. Avec les maximes de l'oncle Laurent et ceux du REAA de la GLDF, j'ai passé honorablement l'xamen !
Le lendemain passage à la pratique : épée le matin, cheval l'après midi… examen réussi pour l'épruve suivante!
on me fit descenre ans une crypte avec une cinquantaine de table, chacun portant unVRAI CADAVRE, ou ce qu'il en retait ! Resté seul en cette compagnie, durant 24 heures environs, j'ai eu le temp d'évaluer ce qu'est la vie ici bas
Après cela la cérémonie de remise de l'épée, la consécration (une collée à vous décrocher la tête)…. Et retour sur Paris !
Depuis, je n'ai plus eu de nouvelles ! Mais papa reçu des lettre avec « Monsier le Comte, josé Garcia Fernandez... »
4- La venue d'Avocats espagnols
assez longtemps plus tard. J'avoue que je saurais dire précisément, sauf que l'actualit » espagnol donait échos au désir d'indépendance de la catalogne. On reprochait à la royauté toute sorte de turpitudes évidemment fabriqué pour la déstabiliser.
On reprochait en particulier à 'l'ancien roy » d'avoir collaboré avec Franco pour intaurer le « facisme » et soumettre la catalogne….
Bref, je ne suivais que de très loin, grace aux inepcies dont la presse française se faisait l'écho.
Un groupe d'avocats, imaginère le roi réabilitant un Comte que Primo de Rivera avait dépossédé de ses bien, serait une manière de prouver sa volonté de réparer une faute qui n'était pas la sienne
ils firent un tel potin auprès d'élus français, parlementaire, membre de ministère, etc. que l'on su que ce qu'ils cherchait était une part du numéraire que cela pourait rapporter !
tout se passais sans moi, et dès que j'ai su, j'ai menaçé de porter plaint contre eux !
Mais ce n'était pas tombé dans l'oreil de srd !
Aussi quand mr Macron (ou ses aides) cherchait à contituer des listes électorales, il manquaient de gens sérizux, et un comte eux relevé leur faciès vis à vis des électeurs. Je refusais, mais ils voulurent me contraindre en m'emvoyant chez moi en Isère des courriers à enveloppe officielle annotées « Monsieux le CONTE DE GARCIFER, luis Garcia Fernandez…. »
Autant dire que la discrétion dans la poste d'une ville comme à Saint Marcellin, ne résiste pas à tel tapage !
L'affaire est passé, mais la population méfiant vis à vis d'un parisien qui prétend être comte…
5- Des faux en écriture (officielles)
Ma soeur a chercher à construire la généalogie espagnole.
Résultat: que des banalités ! Toutefois des mentions "étranges".
*- tel ancètre est qualifié de "panadero" (boulanger) à un endrois ou de notoriété commune il n'y a amis eu de boulanferie. Qui a raison des anciens qui ont vu ou de ceux qui ont écrit ?
*- De mme pour un autre dit come "ouvrier agricole, mais qui"fréquentait l'hotel des chevaliers (du temple, ou srul les chevaliers étaient admis)
*- Autre bizarerie cette fois ci dans les textes. Tous les "Garcia" males n'ont eu aucun frère et soeur ! Apart le fait que la tradition familiale en fait mention, cela parait étrange, une série d'enfant unique. Si on a efacé la parenté, serait-ce pour éviter de "trafique" de très nombreux texte des colatéros ?
*- Ma grand mère qui avait une éducation rigoureuse, "au couvent" disait-on ( les espagnol qui la rencontrait disaient tous être frappé par l'excélent parlé espagnol, en vocabulaire et prononciation) racontait qu'ils gérait une auberge hors de la ville. Pour un boulanger au centre de "La Baneza "?. Elle précisait que les lieux appartenait au frère de grand père (!) et qu'ils étaient riches ; "il y avait une pièce remplie de linge de maison !" (c'était leur richesse à eux, le pouvoir vivre confortablement
Pouquoi toutes ces contradictions ? Que fallait-il cacher par la volonté de Franco ?